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Barack Obama |
by Stansfield Smith
(culled by Alternative révolutionnaire from http://www.counterpunch.org/2013/04/10/north-koreas-justifiable-anger)
The corporate media reduces the DPRK (North Korea) to the Kim family and prefaces their names with the terms “madman”, “evil” and “brutal”. Such vilifications of foreign leaders are used here not only to signify they are target for US overthrow. They are meant to intimidate and isolate anti-war activists as being out in left field for ever wanting to oppose a war against countries ruled by “madmen” – be they Saddam, Fidel, Hugo Chavez, Ahmadinejad, Qaddaffi.
Yet to a sensible person, it is crazy that the US, with nuclear weapons thousands of miles from home, in South Korea, denies North Korea has a right to have its own nuclear weapons on its own land – particularly when the North says it is developing nuclear weapons only as a deterrent because the US won’t take its own weapons out of the Korean peninsula.
Missing in what passes for discourse on the DPRK in the corporate media is that the US was conducting month-long war maneuvers last March in Korea, now extended into April, using stealth bombers, undetectable by radar, capable of carrying nuclear weapons. And this year these are not “deterrent” war maneuvers, but “pre-emptive war” maneuvers.
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Kim Jung Un |
par Gregory Elich
25 avril 2013
Les relations entre les États-Unis et la Corée du Nord ont atteint leur nadir et, dans la plupart des commentaires des médias occidentaux, c’est la rhétorique en apparence déraisonnablement musclée de la Corée du Nord, qu’il convient de blâmer. De façon inexplicable, nous raconte-t-on, la Corée du Nord a choisi d’accroître les tensions. Ce qui manque, dans ce tableau d’une attitude nord-coréenne hostile et du rôle de victime innocente assumé par les États-Unis, c’est le contexte. Et, comme cela arrive souvent, les médias présentent les événements de façon isolée, comme s’ils apparaissaient brusquement, sans la moindre raison.
Pas besoin de remonter très loin dans le temps pour discerner ce qui énerve les Nord-Coréens. Ces derniers mois, le gouvernement d'Obama a entrepris plusieurs démarches que la RPDC (République populaire démocratique de Corée, appellation officielle de la Corée du Nord) a perçues comme autant de menaces.
Le premier pas sur la voie de la détérioration des relations a été franchi en octobre 2012, quand les États-Unis ont accordé à la Corée du Sud une exemption vis-à-vis du régime de contrôle de la technologie des missiles, lui permettant d’allonger la portée de ses missiles balistiques de façon à pouvoir couvrir la totalité du territoire de la RPDC.i Il en résultait qu’un ensemble de modalités s’appliquait à toute nation ayant ratifié le traité, sauf la Corée du Sud, à laquelle s’appliquait un ensemble différent de modalités, dans le but manifeste de cibler sa voisine du Nord.
par Joseph Ze
Secrétaire général du Syndicat national unitaire des instituteurs et des professeurs des écoles normales - SNUIPEN
Pour nourrir cette controverse, nous partons du fait que la liberté syndicale et la protection des droits syndicaux, même si elles sont reconnues par la loi, n’existent pas en pratique lorsque les normes, principes et procédures de la liberté syndicale ne sont pas appliqués.
Les principes de la liberté syndicale ont été progressivement élaborés par les organes de contrôle de l’OIT au cours des soixante dernières années. A l’aune de ces principes, ont peut déterminer le niveau de violation ou de respect de la liberté syndicale et de la protection des droits syndicaux par un pays.
S’agissant du Cameroun, ce pays est membre de l’OIT depuis 1960. A ce jour, il a déjà ratifié plus d’une quarantaine de conventions de cette auguste institution, notamment la Convention n° 87 sur la liberté syndicale et la protection du droit syndical et la convention n° 98 sur le droit d’organisation et la négociation collective.
Djibril KarimuHomme Politique
Nous ne cessons de le rappeler aux journalistes : c’est bien le MANIDEM, lors d’une conférence de presse tenue le 28 novembre 2012 à son siège à Douala, qui a, le premier, révélé la tentative de coup d’Etat institutionnel que le RDPC et son chef préparaient contre le peuple du Kamerun. L’alerte avait été donnée par le Secrétaire Général du RDPC, Jean NKUETE, qui suppliait le Président de la République d’organiser en toute urgence les élections sénatoriales. Monsieur NKUETE servait en réalité de porte-parole. Le complot, bien ficelé, avait comme géniteur le Président BIYA. Avec plus de 9000 conseillers municipaux mal élus en 2007 sur 10600 et dont le mandat avait été prorogé pour 12 mois, le RDPC obtenait sans se fatiguer au moins 60 des 70 sièges de sénateurs mis en compétition. Une fois le sénat en place, M. BIYA pourrait désigner les 11 membres du Conseil Constitutionnel. Cette dernière institution, qui est censée réguler la vie institutionnelle de la République et qui proclame les résultats de tous les scrutins, est l’arbitre suprême du jeu politique de la Nation.